Bêtisier
des keufs
Les fautes sont
laissées en l'état...
Au dire
des témoins, si la victime était
restée chez elle, l'accident n'aurait
pas eu lieu...
Il est
probable que la suicidée a été
lâchement assassinée.
L'homme
avait tenté de forcer toutes les
issues de la femme sans parvenir à s'y
introduire.
Le défunt
a formellement reconnu son agresseur.
Cinq des
trois suspects ont été relâchés.
L'amende
en bonne et due forme avait été
glissée sous le pare-brise du vélo
pour preuve de l'infraction.
Assis
dans sa voiture l'homme faisait mine
d'attendre l'autobus.
L'homme
répondit verbalement qu'il ne
répondrait que par écrit.
L'homme
était ivre-mort puisque cétait
dimanche.
Les deux
voleurs avaient un complice qui était
sûrement un troisième larron.
A notre
arrivée la voiture avait déjà succombé
à ses blessures.
Toute la
bridade ne fut pas assez nombreuse
pour être assez.
L'homme
accepta volontiers de nous suivre
contre son gré.
Sous le
coup de la colère, l'homme mangea une
pomme en ricanant...
C'est à
l'intersection des deux routes que le
mur a violemment heurté la voiture.
Le
cadavre ne semblait pas en possession
de toutes ses facultés.
Un
violent coup de marteau l'avait cloué
au lit depuis deux jours.
Le pendu
est mort noyé.
Comme il
devait être pris en charge au plus
vite par un asile d'aliènes, il a été
conduit à la gendarmerie.
Le
cadavre avait été vu traversant le
village à bicyclettre le jour du
décès.
Malgré
ses 80 ans, la vieille femme retrouva
ses jambes de 20 ans pour se
soustraire à nos questions.
Mort sur
le coup, l'homme avait déjà été
victime d'un accident identique l'an
dernier...
Un flic
lancé à ses trousses, sur le point de
lui mettre la main au collet, a glissé
sur une merde de chien.
Le
montant de tous ces objets sans grande
valeur que nous avons saisis s'élève à
plusieurs millions de francs.
Quand
nous avons découvert son corps, le
suicidé avait l'air soucieux...
Malgré sa
taille, celui-ci semblait vivre
petitement...
On ignore
les raisons qui ont poussé le
désespéré à se faire assassiner.
Son alibi
ayant pu être vérifié, nous avons été
obligés de constater que le suspect ne
pouvait être présent à l'heure dite
sur les lieux du vol qu'il avait
commis.
Entendu
toute la journée, l'homme n'a rien
dit.
L'homme
fut atteint au nez et aux narines...
Après
avoir déjà enfilé deux sens interdits,
l'homme s'en est pris à la
conductrice...
L'homme
portait une perruque pour faire croire
qu'il était chauve.
La mer
était sa terre natale.
Il
s'était introduit dans la sacristie en
escaladant la Sainte Vierge...
Prétendant
exercer le métier de peintre, l'homme
fut incapable de nous en dire plus et
s'emmêla les pinceaux dans ses
différentes explications.
Le garçon
de café était une femme.
Non
seulement la mère n'est pas morte
comme le prétendent ses enfants, mais
il a même été prouvé qu'elle est en
vie.
Le
suspect nous a alors menacés en
fronçant les sourcils.
L'homme
nous raconta toute la vérité qui
n'était qu'un tissu de mensonges.
C'est
alors que le suspect a eu l'audace de
s'endormir pendant que nous
l'interrogions.
L'homme a
refusé d'admettre qu'il nous avait
menti en affirmant qu'il était mort.
Le
prévenu a attendu d'avoir fini son
repas pour commencer une grève de la
faim.
Interrogé
par nos soins, l'homme a alors menacé
de nous répondre si on continuait à
l'interroger...
Nous
n'avions que 2 chances sur 2 de
réussir l'opération, c'est pourquoi
nous avons préféré attendre les
renforts demandés.
Les 3
Africains soupçonnés d'avoir trempé
dans l'affaire ont tous été blanchis
par l'enquête qui a suivi.
L'appel
de la plaignante a été enregistré en
pleine nuit, vers 11 heures du matin.
Le
cadavre de l'homme qui nous a été
présenté correspondait bien à la
description de la femme qui aurait été
vue par les différents témoins.
L'homme
courait à perdre haleine malgré sa
jambe artificielle qui s'était
décrochée.
L'homme
bénéficiait d'une flatteuse réputation
d'escroc.
L'homme
qui nous a éclairé sur cette affaire
travaille lui aussi à l'EDF.
Nous
avons donc pu constater qu'il n'y
avait rien à constater.
Ses
explications étaient si embrouillées
que nous avons du le relâcher faute
d'avoir la preuve que nous pouvions
comprendre ses explications.
L'homme a
menace l'adjudant que si on le prenait
sur ce ton, lui aussi le prendrait sur
ce ton.
C'est la
pluie qui empêcha le brigadier de
s'apercevoir qu'il s'était mis à
neiger.
Quand le
contrevenant a crié : " Espèce de gros
con ! " dans son dos, le brigadier de
service a aussitôt cru se reconnaître
et a verbalisé.
L'homme,
qui était aussi sourd que son épouse,
ne semblait pas s'entendre très bien
avec elle.
L'homme
niant toute culpabilité, nous l'avons
arrêté.
Le
suspect s'est alors décidé à passer
des aveux complets pour nous prouver
qu'il n'était pour rien dans cette
affaire.
L'homme
nous déclara qu'il avait effectivement
frappé son adversaire avec la
manivelle mais en faisant bien
attention à ne pas lui faire mal.
L'homme
avait essayé de cacher l'arme dans ses
bottes, malheureusement pour lui, il
s'agissait d'un fusil dont la longueur
dépassait.
Le trou
de balle était si gros que nous avons
pu y mettre deux doigts.
L'animal
n'a fait qu'une bouchée de la
carrosserie du véhicule.
L'homme a
insisté pour nous présenter son
préjudice qui ne mesurait en fait pas
plus de dix centimètres.
Le
plaignant, visiblement en état
d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus
et signa le formulaire d'une croix.
Si nos
gendarmes n'étaient pas intervenus, le
viol n'aurait sûrement jamais eu lieu.
Pour
finir, l'interpellé avoua le vol ainsi
que quelques autres meurtres.
Si
l'appel n'a pas obtenu de réponse,
c'est qu'il est parvenu au poste
vendredi en fin de matinée alors que
le permanent de service venait de
partir se coucher comme tous les jours
à la même heure.
Arrêté
par les gendarmes, le voleur les a
menacés d'appeler la police.
Il est a
noter que les deux véhicules sont
entrés en collision l'un avec l'autre
exactement le même jour.
En nous
priant d'accepter ses excuses, l'homme
nous affirma que ses injures
étaient bien l'expression de sa pensée
et que l'incident était donc clos.
Malgré un
taux d'alcoolémie de 3.8, le
conducteur avait garde toute sa
lucidité pour écraser l'animal.
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